Roman de Glendy Vanderah
Publié aux éditions Charleston
Quatrième de couverture : Du plus loin qu’elle s’en souvienne, Ellis a toujours trouvé refuge dans la Forêt Sauvage : un lieu magique caché derrière le massif de mûres qui borde le terrain des mobil-homes où elle a grandi. Dans cet îlot de verdure, le bruissement des feuillages et le murmure apaisant du ruisseau devenaient ses confidents les jours où sa mère buvait trop. Aussi est-ce tout naturellement qu’elle se réfugie au milieu des arbres quinze ans plus tard, accompagnée de ses jumeaux de quatre ans et de son bébé Viola, le jour où elle découvre l’infidélité de son mari. Mais le croassement des corbeaux, l’agitation de ses garçons et son tumulte intérieur lui font commettre l’irréparable. Au moment du départ, elle oublie sur le parking la nacelle où dort sa fille. A son retour, Viola a disparu, avalée par la forêt. Rongée par la culpabilité, Ellis entame un long exil au coeur du bois pour se reconstruire. Car même si elle lui a enlevé son enfant, la nature est le seul remède qu’elle ait jamais connu…
Mon avis : Dans la forêt des larmes est un roman poignant et bouleversant que je n’oublierai pas de si tôt. J’ai été happée par cette histoire puissante, percutante et très émouvante qui aborde des sujets forts tels que la résilience et le pardon. J’ai été transportée en plein cœur de la nature aux côtés des personnages et leur histoire, leur force et leur courage m’ont chamboulée. La plume de Glendy Vanderah est incroyable : l’auteure a le don de nous faire ressentir mille émotions. Je n’ai pas vu les 600 pages du roman défiler tellement j’ai été prise par l’histoire. Dans la forêt des larmes est un roman magnifique et inoubliable.